Hôtel Seven
“ Disons que tu es 007… ” “ Et moi Alice au pays des
Merveilles… ”
Bienvenue au-delà de votre imagination !
On a du mal à qualifier d’emblée l’hôtel Seven.
Happening hôtelier ? Peut-être. Fantasme pour rêveurs éveillés ?
Sûrement.
“ Hôtel pour amoureux fous ” enjuponné par une drôle de bande de
créateurs ? Ça y est, vous brûlez !
Pour les uns, il a tout du cocon glamour et sensoriel ; pour
d’autres, il serait plutôt un hôtel “ champagne ”, créatif et
effervescent.
Ce qui saute aux yeux dès le hall franchi, c’est que cet hôtel à
l’intimité fantasque et moderne prend plaisir à bousculer le ronron
du protocole.
Oublions les codes et les repères de l’hôtellerie tradi !
Au Seven, on vend autant d’expériences que de
nuitées…
Quel autre hôtel offre de dormir en lévitation dans
les nuages ?
Où peut-on, ailleurs qu’ici, s’endormir dans une “ grotte ”
douillette et confortable ou voir le jour se coucher au ciel d’un
lit immense comme un songe ?
Jamais un hôtel n’avait été aussi loin dans
l’imagination débordante, dans la créativité sans limite et le rêve
éveillé.
Jamais Philippe Vaurs (qui a déjà démontré
pourtant,avec le Five Hotel et la suite One By The Five, qu’il avait
une passion pour les hôtels ludiques et décalés) n’avait aboli à ce
point les limites du possible.
Au Seven, il flotte dans l’air comme un esprit
facétieux très contagieux.
Pour paraphraser l’une des sept suites inspirée de l’univers de
Lewis Carroll, le Seven au pays de l’hôtellerie parisienne, c’est un
peu “ Malice au pays des merveilles ”.
Voilà un hôtel confident et complice pour qui ne se contente pas du
luxe et du confort dont tant de néo-hôtels font leur miel.
Le Seven est un hôtel de rêve pour rêver plus loin…
et plus grand.
Un hôtel luxueux et attentionné, cocasse et efficace, sensuel et
drôle à la fois, capable de rendre la vie plus légère.
N’est-ce pas la marque des grands hôtels ?
Un hôtel bourré d’inventions et de technologie mais
qui ne s’y perd jamais.
Un hôtel limpide, simple. Simple comme un jeu
d’enfant en somme.
28 chambres en “ plein ciel ”
Premier ciel… Deuxième ciel… On comprend bien en
montant dans les étages que nous ne sommes pas dans un hôtel comme
les autres. Le Seven excelle à brouiller les repères et à
déboutonner les habitudes.
Ce soir, on dort… en apesanteur !
La norme, dans cet hôtel où tous les rêves sont
permis, ce sont les 28 chambres “ Lévitation ”. Philippe Vaurs n’a
pas “ tout donné ” dans les suites.
Chaque client a droit à son moment rare, son instant
de poésie, à sa douce mise en zen.
Le lit flotte en suspension au beau milieu de la
chambre et nous voilà partis pour rêver au-dessus des nuages.
Et si nous étions en train de dormir à la belle
étoile ?
On crée soi-même sa scénographie en actionnant les
interrupteurs.
La lumière vient du sol, des côtés, l’effet est
saisissant. On n’est déjà plus tout à fait dans une chambre d’hôtel.
Même le mobilier translucide semble flotter dans l’air.
Dans certaines chambres, la baignoire, elle aussi,
est en lévitation.
Pour pousser le rêve un peu plus loin encore, la
télé à écran plat est équipée de 4 canaux olfactifs : des images de
champs de fleurs défilent et voilà que le vent télégraphie une belle
odeur de rose ou de tulipes. Quelques belles vues du Sahara sur
l’écran…
Une chaude odeur de sable envahit l’espace.
4 créateurs qui ont de la suite dans les idées
4 créateurs, designers, décorateurs, architectes,
ont imaginé des suites fantasmatiques
où tous les rêves deviennent possibles.
Vincent Bastie
Il court, il court… Vincent Bastie travaille et a
travaillé sur les plus beaux projets hôteliers parisiens de ces
dernières années : L’Hôtel Le A, Le Five, Le Petit Moulin,
L’Apostrophe, le Murano, le Hidden, la Belle Juliette. Le curriculum
est fleuri. Le credo de cet architecte qu’on pourrait qualifier d’“
auteur d’hôtels ” : raconter une histoire à chaque fois, une
histoire qui commence dès le lobby et se termine dans les chambres.
Une histoire tenue, bien écrite, qui ne s’arrête jamais. Tous ses
hôtels vous prennent par la main pour vous emmener ailleurs.
1er étage
- La suite “ 007 ”
« J’ai imaginé un décor chic inspiré des années 60,
celui du vaisseau spatial du méchant de la saga, une capsule
peut-être, ou bien un sous-marin, suggéré par une voûte boisée. Il y
a peu de gadgets, tout est suggéré. On s’attend à ce que la tête de
lit se mette à bouger pour révéler, je ne sais quel passage secret…
On imagine que derrière le miroir se trouve une caméra ou un
micro-espion… Non, il n’y a rien de tout ça ! Rien que ce décor
grandiose. Le chic du détail, c’est aussi la cabine de douche-hammam
futuriste signée Pininfarina avec son siège tellement spectaculaire,
et cette télécommande qui permet de visionner sur écran géant les 22
films de la saga ».
MAIS ENCORE : La
plus masculine des suites est surtout beaucoup plus qu’une simple
chambre d‘hôtel : un vrai décor de cinéma. Le miroir sans fin donne
une impression de profondeur envoûtante et l’écran géant caché
derrière une bâche permet de visionner les aventures de l’espion le
plus célèbre du monde (un bel hommage à Goldfinger vous attend même
dans les toilettes). N’importe quel homme se sent ici dans la peau
d’un espion séduisant en mission et n’importe quelle femme devient -
pour un soir - une de ces James Bond girls mystérieuses dont les
reins ont de ces dandinements d’alcôve…
5e étage
- La suite “ Sublime ”
« J’ai joué du blanc et de la lumière pour suggérer
la candeur de l’amour, la féminité absolue. Une moquette profonde et
confortable, un lit aux rondeurs sensuelles qui flotte au-dessus du
sol et un ciel de lit “ emplumé ” et constellé de pampilles. Cette
chambre est conçue comme un cocon rassurant, plein de courbes,
jamais anguleux, complice et rassurant. Le mobilier lui-même est
galbé, sensuel, sans agressivité. J’ai voulu que le regard se pose
partout dans cette chambre sans jamais être agressé ».
MAIS ENCORE :
inutile de faire un immense effort d’imagination : cette suite
délicate au luxe secret appelle la paix, la tranquillité, l’amour
sans détour ni arrière-pensées. Cette suite ultra féminine parle
d’amour sans démonstration. Pas un boudoir coquin et incandescent,
plutôt un nuage d’amour, ouaté, caréné de courbes délicates. Pas une
suite qui cherche à vous la faire à l’épate, plutôt un havre de paix
dédié au romantisme.
Virginie Cauet
L’univers de Virginie Cauet sent le mercurochrome et
les fraises dérobées dans le jardin du voisin. Architecte
d’intérieur, elle a créé pendant une dizaine d’années des chambres
d’enfant et des espaces pour les petits (cabinets de pédiatres) et
imaginé avec bonheur des cabanes dans les arbres et des murs
d’escalade. Elle a gardé de cette expérience une imagination
facétieuse, une créativité à cloche-pied. Quand on sait que petite
fille, elle allait jouer des heures et des heures dans les grottes
des Cévennes, on comprend mieux son inspiration pour le Seven.
Rez-de-chaussée
- La suite “ Lovez-vous ”
« Le point de départ est un jeu avec les mots “ love
” et “ lover ”, s’aimer, se lover, se cacher. J’ai rêvé d’un cocon
moelleux et primitif dans lequel on pourrait se lover, s’enrouler
l’un à l’autre. Une grotte confortable et maternante, à la fois un
nid douillet et un retour aux sources. Il y a de la pierre d’albâtre
aux murs (la pierre des grottes), de l’eau qui ruisselle sur les
murs de la salle de bain, une cheminée au bioéthanol (pour le
confort et le côté “ guerre du feu ”), un sol granuleux composé de
silices de quartz, de la peau de mouton en guise de tapis
réconfortant et de la peau de vache recouvrant la baignoire et la
tête de lit. Il y a même des lampes en suspension au-dessus des
chevets en bois pétrifié, sorte de stalactites suggérées ».
MAIS ENCORE :
On a une furieuse envie de les toucher, de les caresser, de les
fouler ces matières brutes et primitives. Cette “ grotte ” civilisée
(plus belle encore à la nuit tombée tant le travail sur la lumière
indirecte est abouti) joue le dépaysement et le confort tous
azimuts. Ah, ce jacuzzi torride dans la courette privative arborée !
On a envie de rester allongé dans la baignoire recouverte de peau de
vache jusqu’à la fin des temps. Et même longtemps après…
Sylvia Corrette
Créatrice délurée, architecte d’intérieur décalée,
cet électron libre de la déco crée des objets comme d’autres font du
Jokary. La féerie et les contes, voilà son univers de prédilection.
Sans souci des modes et des codes, elle dessine des miroirs
forcément magiques, des chaises sorties des “ Mille et une nuits ”.
On se souvient de sa chaise “ Roxanne, princesse des djinns ” et de
son canapé “ India ” et de ses mobiles d’origamis. Sylvia a croisé
Philippe Vaurs sur son MySpace. Il lui a confié deux histoires à
raconter diamétralement opposées.
3e étage
- La suite “ Marie-Antoinette ”
« J’ai voulu raconter cette histoire d’amour
passionnée entre Marie-Antoinette et le comte Axel de Fersen dans un
décor théâtral qui pourrait être celui du Petit Trianon. On tire les
rideaux autour du lit-alcôve et le décor change à volonté : des
chaises “ Marie-Antoinette ” surgissent de nulle part. Il y a ce lit
“ no limit ” et majestueux, qui trône au beau milieu de la chambre
d’amour. Il y a aussi un ciel peint à l’huile qui s’éclaire
au-dessus des amants pour simuler le lever et le coucher du soleil.
Cette Marie-Antoinette n’est pas une citation historique, je l’ai
voulue dans l’esprit glam’ rock et cette chambre conte autant
l’histoire de la reine de France que celle de l’amour en général ».
MAIS ENCORE :
Des textes écrits par Sylvia Corrette se cachent dans les rideaux et
pourraient – pourquoi pas - révéler quelques secrets intimes. Cette
suite “ royale ” ne se la raconte pas et joue le décalage permanent
en osant l’éclectisme et le clin d’oeil à l’image de la coiffeuse
psychédélique et ces petits meubles en plexi fuchsia. Comme le film
de Sofia Coppola, c’est audacieux, drôle, enlevé, décalé, insolent
et incroyablement photogénique.
6e étage
- La suite “ Diamant noir ”
« Il ne faut pas avoir peur du noir ! Je suis partie
de cette couleur précieuse, symbole du luxe absolu, comme un défi.
Dormir dans un diamant brut, voilà un fantasme. J’ai voulu un
précieux écrin, sensuel, comme une chambre-boudoir protégée du monde
extérieur. Qui dit diamant dit facettes et aspérités… Il y en a
partout : de la vasque à la baignoire incrustée de cristaux Strass
by Swarovski, de la vitre de la douche taillée comme un diamant au
canapé (que j’ai dessiné). Et pour montrer que le noir n’est pas que
sombre, j’ai utilisé toutes ses nuances en jouant des textures et de
la brillance des matériaux : verre, velours, carrelage incrusté de
paillettes, plexi… »
MAIS ENCORE :
cet obscur objet du désir… Cette suite troublante, sombre et
lumineuse à la fois (oui, oui, lumineuse) est une déclaration
passionnée à l’amour. Sens dessus-dessous, repères affolés, on n’ose
n’être plus tout à fait soi en s’allongeant sur ce nuage de coussins
moelleux incrustés de bijoux. Il n’y a plus qu’à lui offrir ce
diamant, elle ne pourra rien refuser !
PAUL -BERTRAN D MATHIEU
Heureux visiteur qui va découvrir le petit monde portatif du
designer Paul-Betrand Mathieu, plein d’allégresse et de jubilation,
peuplé de rêves, d’humour, d’une réalité toujours sur le fil. Ce
fils de metteur en scène aime plus que tout travailler l’éclairage,
créer des univers “ mouvants ” subtilement surréalistes. Pour
l’hôtel Seven, il a composé (assisté de Julie Gauthron) deux univers
où émotion et technologie se marient à merveille.
4e étage
- La suite “ Alice ”… au pays des Merveilles
« J’ai imaginé une interprétation très contemporaine
d’“ Alice au Pays de merveilles ”, je ne voulais pas recréer
entièrement ce monde imaginaire. Le monde d’Alice se met en
mouvement à 360° : les plafonds et les murs s’animent d’images
subliminales… Des images de rêverie ? Celles d’Alice ? Les nôtres ?
Des sculptures en chiffon signées Anne-Valérie Dupond rappellent le
bestiaire étrange du conte, tout comme le grand lapin dessiné sur la
moquette. J‘ai joué du mobilier baroque et féerique laqué blanc
incrusté de coeurs, de trèfles ».
MAIS ENCORE :
Une chambre faussement enfantine, à l’esprit à la fois gai et
décalé à l’image du gros pouf en forme de champignon pour jouer à
cache-cache ou à saute-mouton. Symbole de cette poésie ironique :
les miroirs magiques qui cachent quelques mots secrets et le jeu
d’échecs rétro-éclairé dans les toilettes pour faire une partie… à
deux.
2nd étage
- La suite “ ON/OFF ”
« Je suis parti d’une envie de créer une illusion
moderne. Cet instant éphémère où, d’un simple claquement de doigt,
tout bouge, tout change, rien ne ressemble plus à l’instant d’avant.
Il fallait faire cohabiter deux décors en un. Recto : un décor d’une
élégante sobriété, des livres, une chambre-boudoir, un bureau… Verso
: un univers fantastique, une forêt imaginaire, des objets de
curiosité. En appuyant sur l’interrupteur, le verre sur les murs
devient opaque ou transparent, il cache ou laisse apparaître un
second décor. Partout, j’ai glissé des proverbes, des citations sur
le thème de l’illusion.
MAIS ENCORE
: jeu des transparences, illusion des lumières, rien n’a bougé
et pourtant, rien n’est plus pareil. ll y a de l’illusion dans l’air
! Mais nous ne sommes pas au spectacle, tout cela est léger, jamais
souligné, comme une de ces illusions à l’ancienne. La poésie est
totale dans cette chambre dépouillée et minimaliste dans sa pureté
(les voilages autour du vaste lit aux airs de baldaquin) capable de
se changer en suite rococo.
Les espaces communs cultivent le rêve et
l’émotion
Zone lobby par Paul-Bertrand Mathieu
N’imaginez pas que l’illusion s’arrête dans les
chambres. L’aventure racontée par Philippe Vaurs n’a jamais de fin…
La poésie ne prend jamais de vacances.
Dans le hall, une nuée de boules de verre suspendues donne
l’illusion d’un plafond en lévitation.
Un écran 3D souffle des bulles de savon qui viennent éclater jusque
devant vos yeux.
Derrière le bar, une belle “ galerie des glaces ” joue des
apparitions/disparitions d’objets. On aperçoit la silhouette d’une
bouteille, d’un livre… Et puis plus rien.
Zone petit déjeuner/Cave à vin par
Paul-Bertrand Mathieu
Le matin, ambiance aérienne dans la salle de
petit déjeuner, lumière fraîche et blanche, l’air souffle un voilage
au fond de la salle et fait onduler une image projetée de papillon.
Le soir, lumière douce et chaude, le lieu se change en cave à vin
futuriste où les bouteilles apparaissent aux murs comme des bijoux
précieux. Un joli fumet de Gewürztraminer flotte dans l’air grâce au
procédé de mise en scène olfactive Scentys.
La sculpture lumineuse 7 signée Valérie Boy
Valérie Boy aime jouer avec la matière, exploser
les préjugés sur la rudesse et la froideur du métal, à l’habiller de
lumière, le déshabiller de découpes, de dentelles, le laisser se
faire dévorer par une onirique végétation… Pour le Seven, elle a
fait éclore le chiffre 7 en plein printemps.
Se laisser porter par les soins et massages
HARNN & THANN
Enseigne d’origine thaïlandaise, HARNN fabrique
et exporte des savons naturels et des produits de spa. L’utilisation
d’ingrédients naturels de très haute qualité, préservant les
savoir-faire traditionnels et artisanaux, font de HARNN une marque
prestigieuse qui met un véritable point d’honneur à ce que ses
produits soient un réel moment de bien-être.
Le Seven s’est donc associé à HARNN & THANN pour que le séjour de sa
clientèle soit des plus réussis. Une masseuse, diplômée de la grande
école de Wat-Po de Bangkok, se tient à leur disposition :massage
Thaï Héritage, réflexologie plantaire, soins des pieds et du visage,
formules à partager ou à offrir... Au Seven tout est fait pour
s’évader, s’envoler...
Un hôtel du groupe Elegancia Hôtels
Elegancia Hôtels est une ligne d’établissements
d’exception. Hôtels de charme, de luxe, singuliers ou design, et
boutiques hôtels, chacun des établissements possède un style qui lui
appartient mais tous partagent la même passion, celle de créer
l’émotion. Authenticité, chaleur et expérience unique sont donc les
maîtres mots d’un séjour par exemple au Hidden Hotel, au One by The
Five, au Five... Et bien sûr au Seven.
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