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Sciences
Trouvez des vêtements éthiques et respectueux de l’environnement
grâce à cette appli
Environ 10 % des émissions mondiales
de gaz à effet de serre sont attribuables à l'industrie de la
mode. Avec l'application Clear Fashion, les consommateurs peuvent
obtenir des informations claires sur l'impact environnemental d'un
vêtement et acheter plus responsable en s'orientant vers les
marques les plus vertueuses.
En dehors de quelques informations sur leur composition, des
conseils de lavage ou
encore le pays de production, les étiquettes des vêtements ne
disent pas grand-chose des engagements éthiques ou écologiques de
la marque. C'est pourtant une attente croissante des Français,
puisque les deux tiers d'entre eux affirment que l'engagement des
marques et des entreprises en matière de développement
durable constitue
un critère de choix important au moment de leurs achats consacrés
à l'habillement, révèle une
enquête Ipsos.
L’impact de la mode sur l’environnement et la santé
Selon l’Agence
européenne pour l’environnement (AEE), la fabrication
d'un seul T-shirt en coton nécessite en effet 2 700 litres d'eau
douce, soit la consommation d'une personne en deux ans
et demi. Le secteur textile était en 2023 la troisième plus grande
source de dégradation de l'eau, responsable d'environ 20 % de la
pollution mondiale d'eau potable, à cause des teintures et autres
produits de finition. Côté gaz
à effet de serre,
l'industrie de la mode est responsable de 10 % des émissions au
niveau mondial, soit plus que l'ensemble des vols et transports
maritimes internationaux. De plus, les vêtements et les chaussures
contiennent de nombreuses substances chimiques, pour certaines
responsables d'allergies
cutanées, que l’Anses
souhaite d’ailleurs encadrer.
L’affichage environnemental sur les vêtements
C'est pour cette raison, qu'un affichage
environnemental sur les vêtements sera déployé dès l'automne 2024.
L’article
2 de la loi Climat et Résilience, issue de la
Convention citoyenne pour le climat et
promulguée le 24 août 2021, prévoit d'informer les consommateurs
« de
façon fiable et facilement compréhensible » sur « l'impact
environnemental des biens et services considérés sur l'ensemble de
leur cycle de vie », afin qu'ils fassent des choix plus
éclairés. Cet affichage environnemental sera exprimé en points
d'impact, qui prennent en compte les émissions de gaz à effet de
serre, les atteintes à la
biodiversité, la consommation d'eau et d'autres
ressources naturelles, la durabilité et
les effets des pollutions des milieux et des environnements.
S’informer sur les pratiques des marques et l’impact des vêtements
En attendant cet affichage environnemental, il existe une application simple,
facile à utiliser et complète pour s'informer sur les pratiques
des marques et l'impact des vêtements grâce à une évaluation sur
l'ensemble de la chaîne de production : Clear
Fashion. Il suffit au consommateur de scanner le
code-barres ou l'étiquette de composition d'un vêtement pour
accéder à un rapport détaillé de près de 500 marques vérifiées.
Clear Fashion a en effet créé une méthodologie d'évaluation et
d'information indépendante, objective et basée sur des faits
scientifiques par un comité d'experts de la filière.
Cent-cinquante critères sont pris en compte selon quatre axes : l’environnement,
les conditions de travail des ouvriers, la santé et le bien-être
animal.
Se protéger du « greenwashing »
Clear Fashion est utilisé par plus de 200 000 consommateurs par
mois séduits par l'exhaustivité, la clarté et surtout
l'indépendance des informations. Pour les marques, c'est
l'opportunité de dresser un état des lieux de leur transition, de
planifier leur progression mais aussi de valoriser les bonnes
pratiques grâce à un affichage co-construit avec les
consommateurs. Chaque évaluation donne en effet lieu à
un rapport d'audit qui protège la marque des risques de greenwashing et
de contrôle, mais aussi qui permet de s'assurer qu'elle est en
conformité avec la réglementation, notamment l'article 13 de la
loi Agec et l'article 2 de la loi Climat et Résilience.
google/Ouest-France
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google/Les
Echos
Mode : pour Dior, Maria Grazia Chiuri joue avec les
« Combustions » d'Alberto Burri
Pour la collection Dior printemps-été 2024, Maria Grazia Chiuri
travaille les matières, en écho à l'oeuvre du plasticien Alberto
Burri.
La collection
Pour Maria Grazia Chiuri chez Dior, chaque défilé est l'occasion
de faire résonner la mode et l'art dans une même intention. Cette
saison, c'est le décor de l'Italienne Elena Bellantoni (une
installation vidéo pop baptisée Not Her qui détourne les
slogans publicitaires sexistes des années 1950 et 1960) qui a
servi de toile de fond au propos de la créatrice. La collection
s'inspire de figures puissantes, comme les sorcières de Salem, La
Callas ou encore la cartomancienne de Monsieur Dior (une certaine
Madame Delahaye), et interroge les stéréotypes de la féminité.
Vestes Bar, jupons en corolle, manteaux trois-quarts, sont tous
volontairement inachevés aux extrémités, comme consumés. Tout
comme cette longue robe en dentelle noire très fine et bordée de
volants à l'aspect élimé. La créatrice propose ici un travail
autour de la matière qui s'inspire de celui de l'artiste
plasticien italien Alberto Burri.
Rien ne prédestinait Alberto Burri (1915-1995), diplômé de
médecine à l'université de Pérouse en 1940, à devenir l'un des
peintres italiens majeurs de l'après-guerre. Mais en 1944, alors
qu'il est fait prisonnier par les alliés en Tunisie, puis envoyé
au camp de Hereford au Texas, il s'intéresse à l'art. Vers 1954,
sa série de Combustioni (combustions) - des toiles trouées,
brûlées ou noircies, façon Arte Povera avant l'heure - lui vaut le
surnom de « maître du matiérisme ». Puis ses expérimentations sur
le plastique (Plastiche, 1957), le bois (Legni,
1957), la tôle (Ferri, 1958) et ses oeuvres craquelées,
fendillées et desséchées, blanches en résine et en très grand
format - les célèbres Cretti (crevasses) en 1973 -
viendront confirmer cette réputation. En 2015, le Guggenheim de
New York rendait hommage à son travail avec une rétrospective
baptisée « The Trauma of Painting ».
Victoria Beckham ose ce classique du vestiaire féminin dans un
coloris délicat à assumer
Victoria Beckham vient de s'associer à l'une des enseignes
préférées des fashionistas. Lors de la soirée de lancement de la
collaboration, le look de la créatrice a attiré tous les regards.
Victoria Beckham enchaîne
les soirées mondaines. Après avoir fêté ses 50 ans avec tous-tes ses
ami-e-s il y a quelques jours, c'est sur la Costa Brava que
l'ancienne Spice Girls a célébré son partenariat avec l'enseigne Mango,
le 23 avril 2024. Dans ce décor paradisiaque, la créatrice portait
évidemment son look signature. Entourée des mannequins Emily Ratajkowski et Adwoa Aboah,
Victoria Beckham a trouvé l'astuce parfaite pour être la reine de
la soirée : enfiler un total look immaculé composé de deux
pièces issues de la collaboration Mango x VB. Elle a misé
sur un blazer très légèrement oversize vendu à 190 euros et
un pantalon à pinces évasé assorti commercialisé à 115 euros. Deux
pièces d'un blanc éclatant, un coloris périlleux qui fait toujours
son effet. De son côté, la mannequin Emily Ratajkowski portait une
version identique, mais en noir !
Quand on pense à Victoria Beckham, c'est son surnom, Posh,
qui nous revient en tête, et on remonte le temps à vitesse grand V
jusqu'aux années 90. Découverte en 1994 avec l'iconique et so
british girls band des Spice Girls, Victoria Beckham
cultive à ses débuts un look ultra nineties à grand renfort
de crop tops et minijupes. Puis, elle rencontre David Beckham,
célèbre joueur de foot britannique, et lance le style WAG's (acronyme
signifiant Wives and girlfriends en anglais), celui des
femmes de footballeur. Lunettes XXL et talons aiguilles, jupes
crayons et sacs à main Hermès déclinés dans toutes les peaux et
les couleurs… Une allure alors souvent qualifiée de bling bling
et tape-à-l'œil. Des qualificatifs qui ne cesseront de coller
à la semelle de ses escarpins compensés lorsqu'elle décidera de
lancer sa propre marque de mode. Et ce, même si dans les
années 2010, elle épouse un style beaucoup plus business chic et
low profile. Pour autant, aujourd'hui, ses créations sont
plébiscitées par les modeuses, qui adhèrent à ses créations
épurées et minimalistes.
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