|
||||||||||||
Bella Hadid Les
looks de Bella Hadid off-duty sont
à la fois chics et audacieux. Le mannequin n'a pas peur de
prendre des risques en matière de mode, en incorporant des
pièces audacieuses et des accessoires à la mode dans ses looks
de tous les jours.
Le style
de Kendall Jenne
Tout
comme sa sœur cadette, Gigi Hadid n'a pas
peur de jouer avec des pièces vives et audacieuses. Qu'elle
adopte un look tout en denim ou qu'elle associe un jean à un
tee-shirt graphique, le style de Gigi Hadid est toujours cool et effortless.
Aucun mannequin n'est aussi doué pour incarner le style casual que Cindy Crawford. Le top est au service des looks de filles cool depuis les années 90. Le mannequin est souvent repéré avec une paire de jeans ou un blazer en cuir pour un ensemble classique qui ne se démode jamais.
Le style
de Naomi Campbell est éclectique, mais
toujours moderne et à la mode. Tout au long de sa carrière, le
mannequin a arboré un éventail d'ensembles audacieux, allant
des tenues monochromes aux tenues à motifs assortis.
Kaia Gerber tient
clairement de sa mère (Cindy Crawford)
lorsqu'il s'agit de son style en dehors des podiums. Les looks
du mannequin se limitent souvent à des pièces classiques comme
des jeans droits et des blazers ajustés pour un look street
style toujours moderne et branché.
Les
looks casual de Kate Moss sont emblématiques.
Le mannequin a défini le street style depuis les années 90,
arborant des pièces allant du manteau de fourrure à la veste
en cuir.
Bien que
son style ait évolué depuis ses débuts dans le mannequinat,
les tenues d'Adriana Lima sont toujours
tendance et bien agencées. Qu'elle porte un jean taille basse
dans les années 90 ou une jupe longue dans les années 2010,
nous ne pouvons pas nous détacher du style à la mode d'Adriana
Lima.
Les
tenues de Devon Aoki en dehors des podiums
sont tout droit sorties d'un rêve de l'an 2000. Elle porte des
jeans taille basse ou des mini-jupes en cuir, et ajoute un
crop top ou une camisole, ainsi qu'un sac oversized pour
parfaire son look.
Hanne Gaby Odiele n'a
pas peur de prendre des risques en matière de mode. Le
mannequin joue avec des couleurs et des motifs audacieux pour
créer des ensembles qui attirent l'attention et que nous
devons avoir dans nos dressings.
La collection féminine estivale 2024 de Prada interroge,
bouscule et refaçonne encore le rôle de la robe, du tailleur,
de l’habillage et de l’expression. Le défilé s’est tenu à la Fondation Prada, dont l’architecture a accentué chaque détail des tenues, créant un contraste captivant avec les designs audacieux présentés. Au sein du Deposito, des parois abstraites sont évoquées à travers des interruptions fluides, créant une enfilade en constante évolution à travers laquelle les mannequins défilent. Les 47 silhouettes Prada ont audacieusement déconstruit les conventions de la silhouette féminine en explorant les frontières et paradoxe de la mode. Des coupes androgynes, des vestes oversize et des pantalons taille haute ont été associés à des robes fluides et à des jupes asymétriques, reflétant la volonté de la marque de repousser les limites et d’encourager l’expression individuelle. Le tailoring classique, rigoureux et formel s’est vu revisité en s’ornant de perles ou de strass. Il s’accessorise de foulard ou de ceinture à franges métalliques argentées (ou dorées) et se pare d’imprimés, d’oeillets ou d’écailles en cuir. Les habits majoritairement monochromes de l’office wear sont sans ostentation mais ont du caractère. Les touches de couleurs vives colorblock (jaune, orange, fuchsia ou rouge) des souliers viennent rendre à la collection estivale la féminité des looks à la confection masculine. Et c’est bien là où réside l’intemporel génie de la Maison, l’art de s’octroyer une silhouette sans concession, uniforme ou non.
Vogue France
Pour Clare Waight Keller, la mode se veut avant tout fonctionnelle, facile à porter au quotidien avec juste ce qu’il faut de fantaisie. Une garde-robe intemporelle que l’on chérit au fil des années. Pas étonnant donc que sa première collection de la nouvelle ligne d’Uniqlo, qu’elle pilotera, saison après saison, soit donc à son image. Baptisée Uniqlo : C, (clin d’oeil à la première lettre de son prénom mais aussi des mots qui définissent bien cette ligne : “clarté”, “connexion” et “créativité”), la collection rassemble une panoplie de bons basiques à la fois élégants tout en restant modernes. On aime en particulier le pull camionneur orange brique, le trench oversize, la maxi robe à fleurs, les mocassins à semelle chunky ou encore le pull torsadé, pile dans les tendances du moment. Soit autant de pièces qui témoignent de l’intemporalité de cette première collection, dans laquelle on retrouve aussi bien l’univers un brin bohème de Clare Waight Keller que pratique d’Uniqlo. Interview avec Clare Waight Keller à l'occasion de la première collection Uniqlo : C Qu’est-ce qui vous a décidé à créer cette ligne Uniqlo : C ? Clare Waight Keller. « J’ai d’abord été contactée par l’équipe britannique d’Uniqlo pour que l’on travaille ensemble. Et au fur et à mesure que le projet évoluait, nous nous sommes dits que l’on devrait créer un label pour la marque, qui a plus de longévité qu’une saison. C’est comme ça que nous avons lancé cette idée d’Uniqlo : C. Comment Uniqlo redéfinit les essentiels de l’automne-hiver ? Il s’agit vraiment de miser sur des pièces intemporelles. Je pense que cette collection reflète assez bien mon style personnel. J’aime beaucoup mixer les pièces un peu boyish et très féminines. On peut voir dans la collection beaucoup de robes fluides, des vestes colorées mais aussi des trench qui contrastent. C’est une collection que l’on peut porter toute l’année : il y a des pièces assez épaisses pour l’hiver ou plus légères, à porter dès maintenant. Pourquoi avoir décidé de collaborer avec Uniqlo ? J’ai toujours aimé la marque, surtout depuis la première collaboration avec Jil Sander. Pour moi, c’était un mariage incroyable entre, d’un côté, un créateur que j’affectionne beaucoup et de l’autre, une marque connue pour sa qualité, son côté assez technique qui fait partie de son ADN. C’était une opportunité très excitante et ça signifie beaucoup pour moi.
|